CRACKOPOLISÉpisode 13

Crackopolis (13/16) : Le grossiste

Un documentaire deJeanne Robet

Trafic de coke à ciel ouvert

Une création

deJeanne Robet

Date de publication

3 juin 2014

Enregistrements
juin-juillet 13

Musique originale (vibraphone)
David Neerman

Musique additionnelle, mise en ondes & mix
Samuel Hirsch

Entretien & réalisation
Jeanne Robet

Production
ARTE Radio

« Des lunettes de soleil, un casque sur la tête »

Ce spot de vente dans une cité du XIXe arrondissement brasse jusqu'à 25 000 euros par week-end. À la tête de ce trafic, qui dure depuis des années, on trouve le grossiste.

 

Charles, 30 ans, est fumeur de crack. Il est aussi voleur, entremetteur et observateur lucide de la vie dans les marges. En 16 brefs récits éclairés par la musique de David Neerman, Charles nous apprend comment voler, dormir et survivre à Crackopolis. 

 

Crackopolis (13/16 - The wholesaler) - Charles, 30, is a crack smoker. He is also a thief, go-between and perspicacious observer of life on the edge. In sixteen brief encounters, illuminated by the music of David Neerman, Charles teaches us how to steal, sleep, love and get by in Crackopolis.

CRACKOPOLIS

Tous les épisodes (16)

Chargement

Vous aimerez aussi

Au charbon

Un documentaire dePascale Pascariello

Samir supervise la vente de cannabis dans une cité du Plan d'Aou, quartiers nord de Marseille. Il vérifie que les choufs (guetteurs) sont en place, que les rabatteurs dirigent le client vers le point de vente, que le charbonneur (vendeur) ait la marchandise suffisante. Le réseau du deal de shit fonctionne comme une entreprise avec sa hiérarchie, ses fonctions et ses horaires. A la tranche de 11h-18h succède celle de 18h-minuit, celle de Samir. Confession crue face à la mer.

Peur blanche

Un documentaire deJeanne Robet

Qui est donc la "génération identitaire" ? Très présente dans les médias à travers l'occupation d'une mosquée ou des actions au Quick halal, cette mouvance nationaliste veut se distinguer des gros skins fachos. Plutôt que de céder à la dénonciation vertueuse ou à la manip' médiatique, Jeanne Robet a passé du temps avec les Jeunes identitaires de Paris. Dans leur maraude auprès des SDF, à leur entraînement de boxe, sur leur page facebook. Le temps d'entendre un message poli qui emprunte autant à droite qu'à gauche. Mais qui dévoile très vite son fantasme d'un "communautarisme blanc" archaïque et déplaisant.