DALIDA ET MOIÉpisode 4

Dalida et moi (3/5) : Une mélancolie arabe

Une création deLéa Veinstein

Dalida, symbole de l'exil et l'immigration ?

Enregistrement
18-19

Texte, voix et montage
Léa Veinstein

Musique originale et réalisation
Arnaud Forest

Illustrations
Julien Pacaud

Production
ARTE Radio

« Être une femme arabe, ça n’est pas parti d’elle et de son corps »

Après avoir beaucoup pleuré sur les vidéos de Dalida sur YouTube, Léa rencontre l’écrivain marocain Abdellah Taia, fan de la chanteuse. L’auteur du livre « Une mélancolie arabe » voit en Dalida un symbole de l’exil et de l’immigration. C’est ainsi qu’il se reconnaît en elle : Dalida est une femme arabe qui, comme lui, a pris le large.

Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... 
Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?

 

 

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