Fenêtre sur courNuméro 4

Les box vitrés

Une création d'Élise Costa

Une parricide dans l'aquarium

Une création

d'Élise Costa

Date de publication

13 mars 2019

Enregistrement
2018

Texte et voix
Élise Costa

Musique originale et réalisation
Samuel Hirsch

Illustration
Simon Leclerc

Production
ARTE Radio

« Un box vitré a donc été installé, et c’est parti de là »

Dans les palais de justice français, les box vitrés se multiplient. Pour qui, et pour quoi ? Une dérive sécuritaire qui s’apparente plus à de la com’ qu’à un réel souci de protection des justiciables : exemple avec le procès pour parricide de Carmen, à Nîmes. 

Fenêtre sur cour : chroniques judiciaires
Enquêtes, justice, affaires criminelles : le podcast d’Elise Costa jure de raconter, « sans haine et sans crainte » l’inhumain en chacun et l’humain en tous.

« Je crois que tout le monde peut tuer quelqu’un un jour », disait aux jurés une témoin appelée à la barre. Si les faits divers nous fascinent, c’est qu’en effet nous avons tous l’intime conviction qu’un jour, selon notre histoire et les circonstances, nos vies pourraient basculer dans le drame. Chroniqueuse judiciaire, je suis depuis plusieurs années les procès d’assises à travers la France. Et dans ce grand théâtre où la justice se penche sur des vies brisées par des crimes atroces, je traque notre part d’humanité. Qui est cette femme qui arrive ivre à sa déposition ? Le père de la victime et la mère de l’accusé parviendront-ils à se parler ? Peut-on toucher son client derrière une vitre ? » - Elise Costa

En partenariat avec Slate.

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Alice, 36 ans, est avocate pénaliste. Elle défend des clients très méchants, délinquants sexuels, violeurs ou pédophiles. Pour la première fois, elle raconte sans tabou son métier, de la prison au Palais de Justice, de la stratégie gagnante à la plaidoirie violente. Ethique personnelle et petits arrangements avec la vérité : la justice est-elle une affaire de morale ? Ou comment rester droite dans sa robe quand tout vous condamne.  
Extraits : 
«  J’ai une fascination pour les faits divers. Et pour l’humain, ou ce qui paraît inhumain. »
«  Y’a plein de mes clients que je trouve pas sympathiques, ça m’empêche pas de les défendre. »
« Je suis pas sûre qu’on défende différemment [un violeur] en étant une femme ou un homme. »
« Moi, je ne suis pas soumise à la vérité. »

Fenêtre sur cour

Enquêtes, justice, affaires criminelles : Elise Costa raconte, dans chaque épisode, l’inhumain en chacun et l’humain en tous.

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