
JO t'aime
Moi non plus... Une compilation pour accompagner la ferveur olympique.
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Faux départs
C’est l’histoire d’un coup de feu, d’une poignée de secondes ou d'un glissement d’orteil qui a tout changé dans leur carrière...

Radiolympique (1/6) : Se loger
Le touriste fan de jeux olympiques aura l’embarras du choix pour se loger : une tente sur le périphérique ? Chez l’habitant ? Ou à l’hôtel presque proche de Paris ?
Remerciements : Merci à ARTE Radio de m’avoir fait confiance. Merci à Perrine, Chloé, Timothé, et mille mercis à Arnaud de m’avoir encouragé (spécial dédicace au Vauban) et de m’avoir rappelé.
Radiolympique
Enfin du sport de haut niveau comme vous l’avez rarement entendu. Radiolympique aborde, en 6 épisodes, le sport dans des conditions météorologiques difficiles, l’organisation des jeux olympiques par une ville de 84 habitants, comment se loger pendant les JO, ce que deviennent les anciens athlètes, la question du choix des sponsors ou un championnat des pires conditions de travail...
Maxime Fassiotti
Né quelque part dans les années 80, Maxime a une fascination inexpliquée pour l’ordinaire. Passionné d'eau plate, de nouilles au beurre, de lundis matin, de zones périurbaines et de CERFA, Maxime s’inspire de tout ça depuis 20 ans pour écrire et interpréter des podcasts humoristiques.

JO FM
JO FM, c'est la radio des JO avant les JO, mais c'est aussi l'émission de la dernière chance pour qu'on ne revive pas les jeux de 1936.
Alors l'équipe du Radio Show a couvert ces grandes olympiades démocratiques, en tendant ses micros auprès des jeunes exilés qui se sont réfugiés à la Maison des Métallos pour échapper à la rue et aux bus de la préfecture qui voudraient les exfiltrer de Paris. En parallèle, on écoute des riches qui fuient la capitale pour les JO, d'autres qui en profitent pour mettre leur appart sur Airbnb, et on appelle la com' de Paris 2024 pour savoir comment employer les bons termes.
Avec aussi le témoignage de Lydie, nageuse handisport, qui explique les catégories et remet la médaille d'or du validisme, un repas de famille tendu autour des Jeux d'hiver 2030 dans les Alpes, des zappings médias sur le ramdam des JO, et un autre type d'épreuves pour la jeunesse de Raqqa en Syrie.
Et encore : un match de foot extrémiste, des commentaires sportifs limites, un coup de fil à Pierre de Coubertin, un battle hip-hop avec Rachida Dati... Et enfin, l'ultime épreuve réalisée dans un stade où tombait une pluie brune, mais chut ! On ne vous divulgâche pas la fin de l'émission...
L'équipe
Une émission d'Olivier Minot (Livo), réalisée avec Annabelle Brouard (Abad).
Avec Clémence Allezard (Alzardo), Mathilde Guermonprez (Loupiotte), notre reporter de guerre Céline Martelet (LineCé) et un coup de main de Timothé Lerolle.
Remerciements
Julien Kobri Dupont, Flo Bé, Lydie Raër des Dévalideuses, Stéphane et Jean-Marc Passeron, Kechili, Kourouma, Milor, les jeunes du parc de Belleville et tout le collectif 20e Solidaire, le collectif "le revers de la médaille", Utopia 56, Ziks de Takamouv, Linda Meyer, Yann Faure, Arsene Gay.

Les combattantes du sport et du genre
Elles portent les coups, lancent les bagarres, les rixes. Elles sont auteures de violence, elles donnent à voir une puissance d'agir qui devient même un spectacle. Elles vont à l'encontre des images stéréotypées de femmes victimes... C'est peut-être pour cela que les femmes boxeuses sont si fascinantes. Même si elles sont de plus en plus nombreuses, elles attirent toujours les regards dans les clubs et sur les rings, au cœur de ces fiefs de la virilité, ces arènes où se joue la masculinité.
Je me suis demandé pourquoi voir des femmes boxer était si bouleversant ? Être une femme boxeuse, qu'est ce que ça dit, qu'est ce que ça raconte ? Et comment vivent-elles cette injonction qui leur est faite, comme à toutes les femmes sportives, de rester féminine avant même de demeurer performante ?
A retrouver sur la chaîne YouTube ARTE Radio.
Avec : Audrey Chenu et Aya Cissoko, boxeuses - Elsa Dorlin, philosophe, auteure de « Se défendre, une philosophie de la violence » (Zones, 2017) - Anaïs Bohuon, maître de conférences, auteure de « Le test de féminité dans les compétitions sportives » (iXe, 2012).
Extraits de : « Boys boys boys » de Joy Sorman - « Girlfight » de Audrey Chenu - « Danbé » de Aya Cissoko.
Remerciements : Natacha Lapeyroux, Université de Lorraine. Boxing Beat, Aubervilliers. Véronica Noseda, Les dégommeuses. Samia Diar, DJ Junkaz Lou, Jean Matthieu Fourt du groupe Elixir.
Bonne nouvelle, Un podcast à soi se décline en livre ! Du micro à la plume, Un livre à soi de Charlotte Bienaimé nous donne à lire ce qui fait les questions d’aujourd’hui : le sexisme ordinaire, la grossophobie, le rôle des pères, la transidentité, les luttes sociales, l’écoféminisme, le prix du sexe ou encore l’horloge biologique. Un livre ARTE Éditions / Stock, disponible en librairie.

Radiolympique (3/6) : Saint Roche les deux étangs
Suite au désistement de Los Angeles, Saint-Roche les deux étangs a été tiré au sort pour organiser les jeux de 2028.
Remerciements : Merci à ARTE Radio de m’avoir fait confiance. Merci à Perrine, Chloé, Timothé, et mille mercis à Arnaud de m’avoir encouragé (spécial dédicace au Vauban) et de m’avoir rappelé.
Radiolympique
Enfin du sport de haut niveau comme vous l’avez rarement entendu. Radiolympique aborde, en 6 épisodes, le sport dans des conditions météorologiques difficiles, l’organisation des jeux olympiques par une ville de 84 habitants, comment se loger pendant les JO, ce que deviennent les anciens athlètes, la question du choix des sponsors ou un championnat des pires conditions de travail...
Maxime Fassiotti
Né quelque part dans les années 80, Maxime a une fascination inexpliquée pour l’ordinaire. Passionné d'eau plate, de nouilles au beurre, de lundis matin, de zones périurbaines et de CERFA, Maxime s’inspire de tout ça depuis 20 ans pour écrire et interpréter des podcasts humoristiques.

Métroïng
Malgré les rumeurs, Paris aura bien ses Jeux olympiques. ARTE Radio retransmet en exclusivité cette compétition aussi courte qu'intense (5x3 min) où les athlètes affrontent des épreuves capitales : dîner, prendre le métro, faire garder son gosse... 1 : le métroïng

Suprême NBA (1/3) : Ce que George a dit
Au milieu des années 80, le sport US arrive à la télé en même temps que la nouvelle chaîne Canal+. Et la Dream Team enfonce le clou aux J.O. de Barcelone 92 avec ses stars XXL : Jordan, Magic, Ewing, Bird, Barkley écrasent la concurrence et marquent les esprits. Du jour au lendemain, tout le monde veut être l’Américain, « celui qui fait la magie dans ta tête » comme le dit Samuel Nadeau qui lance sa carrière en lycée aux Etats-Unis avant de rejoindre le Real Madrid.
Une génération découvre alors le frisson de se lever en pleine nuit pour suivre les play-offs en direct sur Canal +, un bol de céréales à la main. On rêve d’avoir des Reebok Pump, un survêt à bouton-pression et d’épater tout le monde en jouant en tirant la langue. Ce sport-spectacle a un prophète : George Eddy, le commentateur des matchs NBA sur Canal+, et ses expressions badaboumesques ! C’est lui qui donne le top départ de ce podcast-fantasme : une conversation entre des amateurs et des pros, des joueurs de la bouillonnante Île-de-France et d’autres perdus dans « le trou du cul du monde de la campagne mosellane », à l’instar du chanteur de rock-psyché Guillaume Marietta. Un jeu de miroir entre des anciens ados fascinés par le même objet et qui ont repeint leur chambre avec les mêmes posters format géant NBA. Archives et jingles a gogo, il est temps de replonger !
Avec la participation de :
- Robert Carman : originaire de Cleveland, aux États-Unis, ancien joueur professionnel en France.
- François Chevalier : basketteur amateur, journaliste à Télérama, co-auteur du livre "Bonnes vacances ! La trilogie du CSP Limoges".
- George Eddy : journaliste franco-américain, a popularisé la NBA en France en devenant le commentateur des matches pour Canal+ à partir de 1985.
- Jean-Louis Mendy : membre du club Lapelcha-Goutte d’or Basket-ball et éducateur à l’Espace Jeune de la Goutte d’or.
- Clarisse Mercier : ancienne joueuse professionnelle, a remporté à 12 ans le concours de trois-points lors de la venue de Michael Jordan à Paris en septembre 1990.
- Julien Müller: a écumé les terrains parisiens, fan de basket NBA et auteur des livres : "Les légendes de la NBA" et "Les rivalités de la NBA".
- Samuel Nadeau : ancien joueur professionnel, premier Français à avoir signé au Real Madrid, aujourd’hui éducateur sportif à Sarcelles.
- Tex Lacroix : spécialiste de la street culture, consultant marketing et DJ.
- Guillaume Marietta : chanteur et guitariste de rock-psyché sous le nom de Marietta et avec le groupe The Feeling of Love (Born Bad Records)
- Odile Méndez-Bonito : documentariste, co-directrice du Créadoc
- Alexandre Vrac : joueur de club et de playground de l'est parisien (Seine-et-Marne)
Alexandre Duval, 42 ans. Né à Poitiers. Réalisateur sonore, travaille avec France Culture (Les Passagers de la nuit) et depuis 2005 avec ARTE Radio autant pour des documentaires que des essais radiophoniques. Responsable de la filière son du master de création documentaire (Angoulême, Université de Poitiers) entre 2016 et 2019.

Radio Mondial
Pendant 90 minutes, le 15 juillet 2018, une grande partie de la planète a suivi la finale de la coupe du monde de football. Nous avons enregistré une soixantaine de radios qui commentaient le match à leur manière dans le monde entier : Ghana, Mali, Brésil, Argentine, Pologne, Croatie, Thaïlande, Bangladesh, Indonésie, Maroc...
Le traitement sonore du même événement donne à entendre ce qui nous rassemble dans un monde globalisé, mais aussi les différences culturelles qui persistent. Certaines radios entrecoupent la diffusion de publicités, d’autres d’appels à la prière, de dédicaces ou de l’annonce de l’heure locale, bombardant des jingles ou de la musique à la mi-temps.
Dans une époque globalement visuelle, où nous sommes tous connectés via le petit écran et l’internet, écouter la radio semble une pratique désuète, mais le commentateur reste une figure importante pour les amateurs de football du monde entier. Ce collage sonore propose de réécouter un récit dont tout le monde connaît l’issue, à travers ses langues, ses accents, ses rythmes et ses mélodies, sur fond de grésillements et de saturations propres à la radio hertzienne.
Radio Mondial (Español)
Durante 90 minutos el 15 de julio 2018, una gran parte del planeta siguió la final de la Copa Mundial de Fútbol. Grabamos unas 60 estaciones de radio del mundo entero comentando el partido, cada uno a su manera : en Ghana, Mali, Brasil, Argentina, Polonia, Croacia, Tailandia, Bangladesh, Indonesia, Marruecos…
El tratamiento sonoro del mismo acontecimiento nos ofrece escuchar aquello que nos une y nos reúne en un mundo globalizado, pero también las diferencias culturales que persisten. Algunas radios interrumpen la transmisión con publicidad, otras con los llamados del muecín, dedicatorias, anuncios de la hora local, bombardeo publicitario y música durante el medio tiempo.
En una época globalmente visual, donde estamos conectados a través de pequeñas pantallas y el internet, escuchar la radio parece una práctica antigua, pero el comentador sigue siendo una persona importante para los aficionados de la pelota. Este “collage” sonoro propone re-escuchar un relato del cual todo el mundo conoce el final, a través de una variedad de lenguas, acentos, ritmos y melodías sobre un fondo sonoro de interferencias y saturaciones propias de la radio.
Radio Mondial (English)
On July 15, 2018, over the course of 90 minutes, a big part of the planet followed the FIFA’s World Cup final tournament. We recorded around 60 radio broadcasters from all over the world which all commented on the match each in their own way: in Ghana, Mali, Brazil, Argentina, Poland, Thailand, Bangladesh, Indonesia, Morocco, among others.
Through the sound-based coverage of one of the planet’s biggest events the act of listening unites people and brings us together in a global sense, but also gives us the opportunity to identify our cultural differences. For example, during half-time, some radio broadcasters interrupt the match with advertisements, while others have prayer calls, personal dedications, the local hour announcement, or simple bombarding listeners with jingles and music.
In global and mostly visual times, when we are connected through a small screen and the internet, listening to the radio seems like an old-fashioned practice, but for soccer lovers the commentator is still a relevant and an important character in their lives. This sound collage invites us to listen to a story of which we all know the end through a variety of languages, accents, rhythms and melodies within a background of crackling and saturation, very common sounds in radio broadcasts.
Radio Mondial (português)
15 de julho de 2018.
Durante 90 minutos, grande parte do planeta seguia a copa do mundo de futebol. Enquanto isso, gravávamos rádios de 60 países a narrar, cada uma à sua maneira, esse mesmo evento: Ghana, Mali, Brasil, Argentina, Polônia, Croácia, Tailândia, Bangladesh, Indonésia, Marrocos...
Escutar uma centena de vozes a comentar, juntas, as mesmas dinâmicas no campo, evidencia o que nos une e nos assemelha em um mundo globalizado. Deixando, no entanto, soar suas marcas e particularidades culturais que persistem em suas transmissões permeadas por publicidades, dedicatórias, pausas para a reza, jingles, anúncios de hora local ou músicas no intervalo.
Em uma época globalmente visual, em que estamos todos conectados às nossas telinhas e à internet, escutar a rádios talvez seja um gesto em desuso, mas o narrador de futebol não deixa de ser uma figura importante para os amantes do esporte.
Essa colagem sonora tem como proposta reescutar uma história em que todos conhecemos o final, através de diversas línguas, sotaques, ritmos e melodias, muitas vezes saturadas e ao fundo ruidoso, típicos da rádio.